Thiaroye sur Mer (Sénégal) - Octobre 2022
Dans les rues de Dakar, des conteneurs sont posés en bord de route. A l’intérieur de ces “venants” en provenance d’Europe ou des Etats-Unis,Unis, la marchandise est variée : voitures,mobilier, vaisselle mais aussi beaucoup d’ électronique et d’électrique comme des réfrigérateurs, téléviseurs, ordinateurs, etc.
Selon le Global E-Waste Monitor 2020, seulement 17,4% des déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE) générés dans le monde sont collectés et traités de manière écologiquement rationnelle, ce qui signifie que le sort de la majorité (82,6%) n’est pas documenté.
Environ 20 % sont exportés de manière illégale, sous l’appellation “produits de seconde main” afin de passer les contrôles douaniers sans encombres pour y subir un recyclage dit informel, dans des décharges à ciel ouvert dans des pays d’Afrique, d’Asie ou d’Amérique du Sud. Parmi les lots, des appareils en bon état, d’autres abîmés et d’autres encore inutilisables.
Thiaroye sur Mer (Sénégal) - Octobre 2022
Dans les rues de Dakar, des conteneurs sont posés en bord de route. A l’intérieur de ces “venants” en provenance d’Europe ou des Etats-Unis,Unis, la marchandise est variée : voitures,mobilier, vaisselle mais aussi beaucoup d’ électronique et d’électrique comme des réfrigérateurs, téléviseurs, ordinateurs, etc.
Selon le Global E-Waste Monitor 2020, seulement 17,4% des déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE) générés dans le monde sont collectés et traités de manière écologiquement rationnelle, ce qui signifie que le sort de la majorité (82,6%) n’est pas documenté.
Environ 20 % sont exportés de manière illégale, sous l’appellation “produits de seconde main” afin de passer les contrôles douaniers sans encombres pour y subir un recyclage dit informel, dans des décharges à ciel ouvert dans des pays d’Afrique, d’Asie ou d’Amérique du Sud. Parmi les lots, des appareils en bon état, d’autres abîmés et d’autres encore inutilisables.